lundi 21 septembre 2009

Cameroun: Le logiciel libre fêté à Yaoundé

A l’occasion de la journée mondiale du logiciel libre, une Ong de la ville de Yaoundé a organisé des manifestations

La journée mondiale du logiciel libre a été célébrée dans une centaine de pays samedi 19 Septembre dernier. A Yaoundé, c’est l’organisation non gouvernementale (ONG), Promotion des Technologies Garantes de l’environnement et de la Qualité de Vie (PROTEGE QV) qui a animé la célébration au British Council. Cette Ong qui œuvre pour l’appui à la microfinance, la promotion des TIC pour le développement, la protection de l’environnement et la promotion du leadership s’inscrit en fait dans une tradition de célébration de la journée mondiale du logiciel libre au Cameroun qu’elle a commencé en 2005. Selon madame Sylvie SIYAM, promotrice de l’ONG, cette journée est organisée pour échanger, nous informer, partager, faire ressortir les forces et les faiblesses du logiciel libre pour voir si les logiciels libres sont une opportunité pour avoir accès aux opportunités.

Cette célébration était axée autour de deux activités majeures : Une conférence sur le thème: Le logiciel libre, quels enjeux pour l’Afrique et le Cameroun en particulier ? et un atelier sur l’installation et l’utilisation du logiciel libre Edubuntu.
Lors de la conférence, les exposants ont édifié le public sur le logiciel libre et ses avantages. Les exposants ont ainsi levé l’équivoque entre la différence nécessaire à établir entre la gratuité et la liberté du logiciel libre. La liberté d’utiliser le logiciel sans aucune limite, d’étudier son fonctionnement, de le donner ou de le vendre, de le modifier et le redistribuer sont les éléments qui fondent la liberté du logiciel libre. En ce qui concerne les avantages du logiciel libre, les exposants ont cité entre autres, la réduction systématique du piratage, la garantie de fonctionnement, de liberté et de pérennité de ce type de logiciel, sa rentabilité, son efficacité et sa fiabilité, son caractère économique, sa capacité à créer les emplois et les richesses. La réflexion a ensuite été menée autour des stratégies à adopter pour une meilleure sensibilisation et vulgarisation du logiciel libre. La proposition la plus marquante dans l’exposé a été le plaidoyer formulé par les exposants pour l’introduction de l’utilisation du logiciel libre dans les écoles primaires, secondaires et les universités.


La conférence s’est achevée par la présentation d’Edubuntu, un logiciel libre appliqué à l’éducation. Les élèves et les étudiants présents dans la salle du British Council ont pu découvrir les opportunités d’apprentissage de certaines disciplines comme les mathématiques grâce à ce logiciel qui, comme les logiciels libres devrait libérer les utilisateurs de la dépendance aux logiciels propriétaires américains de Microsoft par exemple. A la suite des ateliers, une cinquantaine de participants ont été retenus pour participer à l’atelier sur l’installation et l’utilisation du logiciel Edubuntu.

Cette journée du logiciel libre organisée par l’Ong PROTEGE QV a eu la particularité d’accueillir une équipe de la communauté UBUNTU CAMEROUN reconnue à l’échelle internationale. Cette équipe a largement sensibilisé les participants sur l’utilisation et les avantages du système d’exploitation UBUNTU. Quelques participants ont aussi remporté des lots divers grâce à une tombola programmée par le comité d’organisation. Rendez-vous est pris pour la journée mondiale du logiciel libre le 19 Septembre 2009.

samedi 12 septembre 2009

Cameroun : Ali Bongo explique les raisons de sa visite





Ali Bongo Ondimba vient de passer environ 3 heures de temps au Cameroun. Une visite au pas de course marquée par une audience que lui a accordé le président camerounais Paul Biya qui lui a déroulé le tapis rouge et lui a réservé un accueil protocolaire de type présidentiel.

Le geste du président Paul Biya n’est pas passé inaperçu. En se déplaçant personnellement pour l’aéroport international de Nsimalen afin de recevoir son hôte, Ali Bongo Ondimba, nouveau président élu du Gabon, Paul Biya a voulu passer un message clair : Ce sera Ali, et personne d’autre. En dépit du contentieux post électoral qui se déroulera au niveau de la cour constitutionnelle gabonaise. Tapis fouge, honneurs officiels, bain de foule organisé auprès des militants du parti au pouvoir camerounais et de quelques gabonais, cortège motorisé, réception au palais présidentiel, l’arsenal protocolaire déployé pour Ali Bongo était celui des grands jours. Reçu en grande pompe au palais présidentiel, Ali Bongo s’est risqué à quelques déclarations devant la presse. Sur les raisons de sa visite et de son choix du Cameroun pour effectuer sa première visite de président, Ali Bongo a expliqué que « c’est un choix qui est tout naturel. Le président Paul Biya m’a toujours honoré de me considérer comme son fils et lorsque le fils part dans une compétition, lorsque le fils s’engage dans un combat et que le fils ressort victorieux, il est important, il est naturel qu’il vienne voir le père pour venir recueillir les conseils et venir lui dire comment ça s’est passé et c’est ce que naturellement j’ai fait. Je n’envisageais les choses d’une autre façon. Monsieur le président de la République m’a toujours adopté comme son fils. C’était le frère de mon père et il était nécessaire pour moi de venir le voir pour qu’il puisse me donner des bons conseils. Ce n’est pas une tâche facile. C’est un des chefs d’Etat les plus respectés du continent. Pourquoi voulez-vous que je me passe de bons conseils ? Donc en fait, je n’ai pas de mérite. En fait, je profite. En dehors de cela, vous connaissez les rapports qu’il y a entre nos deux pays qui sont des rapports excellents, des rapports de fraternité et d’amitié. Donc là aussi, ma visite s’inscrit dans ce registre là ».

Interrogé sur le contenu de son entretien avec Paul Biya, Ali Bongo s’est montré évasif. « Il est important pour nous de peaufiner l’œuvre de construction. La construction africaine a toujours été importante et elle passe par la consolidation de cette coopération et ce partenariat sous régional. Donc, il est évident que nous avons abordé ces questions là » a-t-il déclaré. Sur les premiers actes qu’il devrait poser en tant que chef d’Etat, il a affirmé que « pour l’instant, nous attendons que les période fixées par la constitution s’écoulent. Après cela, nous aurons à former un gouvernement et bous mettre au travail rapidement ».
Le Cameroun n’est pas l’unique pays que visitera le président gabonais. Ali Bongo et sa délégation viennent d’arriver au Congo Brazzaville. Ils se rendront aussi au Tchad, en Angola et dans plusieurs autres pays africains. L’on note toutefois qu’il ne se déplacera pas pour la Guinée Equatoriale. Officiellement parce que le calendrier du président Obiang Nguéma ne le permet pas.
En tout cas, il s’agit là d’une véritable offensive diplomatique d’Ali Bongo pour se construire une légitimité sur le continent. En attendant sa prestation de serment dans les prochains jours. Si le conseil constitutionnel en décide ainsi.

Roland Kwemain: "Ma victoire sera diplomatique et économique pour le Cameroun"

Candidat à la présidence mondiale de la jeune chambre internationale, il explicite les contours de sa candidature

Roland Kwemain

Vous êtes candidat à la présidence mondiale de la Jeune Chambre Internationale. Pouvez-vous nous présenter cette institution ?
La Jeune Chambre Internationale est une fédération mondiale de jeunes leaders et entrepreneurs âgés de 18 à 40 ans. L’ambition est d’offrir aux jeunes, des opportunités de développement qui leur permettront d’apporter des changements positifs dans leurs communautés respectives. La JCI est représentée dans 119 pays et dans 6000 localités. Au Cameroun, la JCI est représentée dans 27 localités et compte près de 850 membres. La JCI a 20 ans d’existence au Cameroun.

Vous avez déjà occupé de très hautes fonctions au sein de la JCI. Qu’est-ce qui a motivé votre candidature à la fonction suprême de président mondial de la Jeune Chambre Internationale ?
Effectivement en 2006, j’étais président national de la JCI ; en 2007, j’étais vice-président mondial, en 2008 j’étais président du conseil pour le développement des Jeunes Chambres Afrique et Moyen-Orient et en 2009, je suis vice-président exécutif mondial c'est-à-dire N°2 de la fédération. En ce qui concerne ma motivation, je dois vous dire que c’est la Jeune Chambre du Cameroun qui a décidé de présenter ma candidature. Deuxièmement, j’ai le soutien des Jeunes Chambres d’Afrique et du Moyen-Orient qui ont pensé qu’il était temps, qu’un fils noir puisse aussi briguer la magistrature suprême de notre organisation. Troisièmement, c’est parce que je remplis toutes les conditions pour pouvoir être candidat.

Slogan de campagne

Vous êtes le premier africain, le premier noir à briguer la présidence mondiale de la Jeune Chambre Internationale. Est-ce que la promotion de l’image des africains et des noirs en général occupera une place dans votre programme si vous êtes porté à la tête de la JCI ?
D’abord, je dois faire une précision. Je ne suis pas le premier africain mais je suis le premier noir qui pourrait être président mondial de la JCI. Avant moi, il y a déjà eu 2 africains : un mauricien et un tunisien. Donc, la réalité c’est que, beaucoup de gens souhaitent qu’un noir soit élu à la présidence mondiale de la JCI. Pour ce qui est de l’image des africains que vous évoquez, si je suis élu, ce sera l’occasion de démontrer que nous avons la capacité de leadership. N’oubliez pas que la Jeune Chambre Internationale est une organisation qui forme les leaders et, en 64 ans, nous avons eu 64 présidents mondiaux. C’est une organisation où les valeurs démocratiques sont très importantes. Donc, c’est important qu’on puisse donner la chance à un noir, de diriger l’organisation. Ça permettra aussi de nous valoriser. Je pense que l’heure est au changement et notre organisation prône le changement depuis 64 ans mais aussi, la transformation de nos sociétés en des sociétés meilleurs et peut-être il fallait que l’organisation aussi commence par changer elle-même.

Avez-vous une idée de vos concurrents et, quels pourraient être vos atouts par rapport à ceux-ci ?
Peut-être faudrait-il que je vous explique comment ça se passe sur le plan constitutionnel. Il y a 119 organisations nationales et donc 119 présidents nationaux. Sur les 119 présidents nationaux, il y a 17 qui deviennent vice-présidents mondiaux l’année suivante. Et sur ces 17, 4 deviennent vice-présidents exécutifs l’année suivante. Donc, nous sommes actuellement 4 vice-présidents exécutifs et donc 4 candidats potentiels à la présidence mondiale de la fédération. Moi je pense que sur le plan stratégique, il est plus intéressant d’analyser ses forces et ses faiblesses. Quand on veut trop se focaliser sur ses concurrents, on peut s’égarer mais nous avons les meilleures chances et les atouts pour pouvoir, au soir du 20 Novembre 2009 en Tunisie, avoir la victoire avec nous.

On a vu le gouvernement notamment plusieurs ministres se mobiliser autour de votre candidature. Comment se matérialise ce soutien ?
Déjà, peut-être qu’il faut expliquer pourquoi le gouvernement nous soutient. La JCI au Cameroun est régie par le décret présidentiel 219/2003 qui nous place sous la tutelle du ministère du Commerce. Donc, nous sommes une organisation régie par un décret présidentiel. En 2006, le Président de la République, son Excellence Paul Biya avait cité la Jeune Chambre comme modèle lors de son traditionnel discours du 10 Février à la jeunesse camerounaise et, nous voulons briguer la magistrature suprême d’une organisation qui a formé les plus grands du monde en matière de leadership, qui a un accord de partenariat depuis 1957 donc depuis 52 ans avec les Nations Unies et qui est une organisation mondiale de 200 000 membres dans 119 pays et plus d’un million d’anciens membres. Il était naturel qu’on puisse saisir les plus hautes autorités du pays et donc le Président de la République pour lui faire savoir que nous avons l’intention de briguer la présidence mondiale d’une telle organisation et que nous avons besoin de sa bénédiction et de son soutien. Nous l’avons reçu le 5 Juin 2009. Ce soutien est diplomatique. Le candidat qui vous parle est propriétaire d’un passeport diplomatique remis par le Président de la République par les mains du ministre des Relations Extérieures. Pour votre information, je ne suis ni ministre, ni député, ni diplomate mais je suis détenteur d’un passeport diplomatique. En outre, nous avons des soutiens d’accompagnement au niveau des ambassades du Cameroun, des représentations diplomatiques. Il y a aussi des déplacements stratégiques que nous ne pouvons pas dévoiler ici. Deuxièmement, le Président de la République a instruit le ministre des finances et notre ministre de tutelle (ministre du commerce, Ndlr) de mettre en œuvre tous les moyens pour pouvoir nous accompagner. Donc, il y a un travail de lobbying important fait par le Minrex (ministère des relations extérieures, Ndlr) et tous ceux qui, de près ou de loin, peuvent nous accompagner et nous faire réaliser ce coup d’essai en coup de maître.

Qu’est-ce que le Cameroun peut attendre de votre élection à la tête de la JCI ?
Déjà, ce serait une victoire sur le plan diplomatique. Imaginez un peu que le président mondial visite 70 à 80 pays sur les 119 où sont représentés la JCI. Et chaque fois qu’il visite ces pays, il est reçu par les plus hautes autorités : les chefs d’Etat, les premiers ministres, les ministres, le patronat puisque la JCI a des accords avec l’International Chamber of Commerce, la fédération mondiale des chambres de commerce, les responsables des Nations Unies…Je dis que c’est une plateforme exceptionnelle pour la promotion de l’image du Cameroun. N’oubliez pas que, si je deviens président mondial, lorsqu’on me recevra, on présentera Roland Kwemain. C’est un nom qui sonne d’ailleurs un peu bizarre mais qu’est-ce qu’on retiendra ? Qu’il est camerounais. Ce sera le Cameroun. La publicité d’un pays sur les grands médias internationaux coûte des millions de dollars mais moi, je le ferai gratuitement. Je parlerai du Cameroun et qui, mieux qu’un camerounais peut parler du Cameroun ? Maintenant, je voudrais interpeller la communauté économique et même, la communauté sociopolitique de pouvoir m’accompagner c’est-à-dire, pouvoir mettre à ma disposition, tout le matériel qui me permettra de mieux vendre mon pays et souvent même faire des déplacements comme en Tunisie où on attend 4000 à 5000 leaders et entrepreneurs du monde entier. Je suis certes un instrument au service de la JCI car si je suis élu président mondial, je vais défendre les intérêts de la Jeune Chambre, mais l’on va noter que je suis camerounais. Donc, en plus d’une victoire diplomatique, ce sera une victoire économique pour le Cameroun car, comme je vous le disais, on a des partenariats avec la fédération internationale des chambres de commerce où l’on est au courant des tendances des investissements. Donc, à ce niveau là, on parlera du Cameroun et l’on pourra avoir les informations sur le Cameroun qu’on va diffuser auprès du patronat, du Mecam, du Gicam. Je pense que c’est à eux de m’utiliser. Bref, je serai un instrument au service de ma Nation.

Le Camerounais Roland Kwemain: Premier noir à la tête de la Jeune Chambre Internationale ?


38 ans, diplômé de marketing, il a reçu l’onction du chef de l’Etat pour briguer la présidence de la

Ce qui frappe chez Roland Kwemain, c’est sa simplicité et sa disponibilité. Pour un homme qui a côtoyé plusieurs dirigeants du monde, l’on est un peu surpris lorsqu’il s’ouvre facilement à ses interlocuteurs. C’est sans doute là, l’une de ses armes de séduction: un caractère rassembleur d’un jeune leader qui a très vite affirmé ses qualités de manager.

Né le 4 avril 1971 à Yaoundé, Roland Kwemain, à peine sa maîtrise en Marketing obtenue à l’université de Douala, s’est lancé dans le management. Dès 1999, il est le directeur exécutif d'une ONG, ADCOME, qui favorise le développement communautaire par la formation aux Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) et les répercussions du leadership et des compétences entrepreneuriales. Il est également consultant en Technologies de l’Information. Titulaire d’un diplôme de « Responsabilité sociale et de développement durable » obtenu à la World Bank Institute, Roland Kwemain a très vite adhéré à la jeune chambre internationale. L’ascension de Rolad Kwemain à la JCI aura été fulgurante. Et c’est peu dire.

Entré à la Jeune Chambre Internationale en 2002 à Buéa, sa ville de résidence. Il participe alors dans le cadre de cette institution, à plusieurs activités locales et nationales. Directeur des formations à la JCI de Buéa en 2003, il y deviendra secrétaire général et directeur marketing et de la communication en 2004. En 2005, il est fait vice-président exécutif de la JCI à l’échelle nationale et devient l’année suivante, le président national de l’organisation au Cameroun. Fort de cette assise nationale, Roland Kwemain va s’élancer vers la maison mère. Après avoir participé à six conférences régionales et trois Congrès mondiaux de la JCI, il mesure désormais l’ampleur internationale de l’organisation. En 2007, il est fait vice-président international de la JCI et couvre plusieurs pays africains parmi lesquels le Bénin, le Burkina Faso, les Comores, le Gabon, le Ghana, le Kenya, Madagascar, le Mali, le Nigeria, le Rwanda, le Togo, la Tunisie et l’Ouganda et aussi le Moyen-Orient.

Un lion indomptable

Au moment où il se prépare à briguer la présidence mondiale de l’organisation, il a reçu l’onction des autorités camerounaises et surtout, celle du chef de l’Etat, le président Paul Biya. La tâche ne sera pas facile car, il aura face à lui trois autres concurrents. S’il est élu, il sera le premier noir à la tête de la JCI. Le ministre du commerce qui présentait récemment sa candidature à l’hôtel Mont Fébé à Yaoundé a observé qu’il a le profil du poste. C’est un Lion Indomptable que le Cameroun jette dans l’arène avec le soutien du président de la République. Le ministre du commerce a ainsi invité ses collègues du gouvernement ainsi que les pays dont les missions diplomatiques sont accréditées au Cameroun à le soutenir lors du congrès mondial qui aura lieu du 16 au 21 novembre 2009 en Tunisie.
Roland Kwemain a une idée précise de ce qu’il entend faire s’il est porté à la tête de l’organisation. Dans son plan d’action, il entend augmenter l’effectif de la JCI qui compte aujourd’hui 200 000 membres dans le monde. Il va également entreprendre la promotion de la JCI et des Objectifs du millénaire pour le développement, avec une attention particulière en Afrique.

Marié à Majorlaine et père de deux enfants, William et Diana, Roland Kwemain est bilingue et manie avec aisance le français et surtout l’Anglais qui sera sans doute sa principale langue de travail s’il venait à être élu au soir du 20 Novembre 2009. Pour un mandat d’un an qui s’étale sur l’année 2010. La Jeune Chambre Internationale a été créée il y a plus de 65 ans aux Etats-Unis. Elle est présente dans près de 100 pays et regroupe près de 5000 organisations locales de jeunes âgés entre 18 et 40 ans. Elle forme ses membres à devenir meilleurs en termes de leadership et d’intervention dans la résolution des problèmes de leur société. Plusieurs Premiers ministres japonais et autres hautes personnalités américaines et mondiales sont passées par cette organisation.